Comme je l’exposais dans une des chronique (voir ci-dessous), les solutions de facilité sont rarement bonnes en protection des données.
Ainsi tout un chacun tombe dans le piège de WhatsApp, crée des groupes et communique à qui mieux mieux toutes sortes d’informations, des plus banales – et inintéressantes même pour Facebook – aux plus sensibles.
Or, on ne peut être conforme aux principes applicables en protection des donnés et échanger des informations sensibles, ou soumises au secret de fonction, sur cette messagerie instantanée.
L’Etat de Vaud l’a compris et encourage les enseignants à utiliser une messagerie conforme et non WhatsApp, et la Commission européenne fait de même. Elle a annoncé, en effet, que toute communication instantanée entre les collaborateurs de ses instances devra ce faire par Signal. Pour sûr, ça va multiplier les contacts sur cette messagerie, et peut-être aussi l’utilisation d’autres outils de ce type.
L’union fait le force, une fois encore.
A propos, vous pouvez retrouver les chroniques que j’ai publiées en 2019 dans ICTjournal, et que je continue d’alimenter, ici: ICTjournal_Tribune_DPO_2019_ID